Pour découvrir, je dois dire que je n'arrête pas de découvrir, mais aussi de mieux comprendre en pratiquant... Donc, j'apprends, ce qui compense la "frustration" de l'echec...
Il ne me manque plus qu'un bon Astrophotographe Ah ah elle est bien bonne ! non, laisse tomber l'évaluation de meteoblue elle est dans les choux... C'est simple : dans notre région il y a de grands écarts de température entre le jour et la nuit (saison chaude), et régulièrement du Jet stream à décorner les bœufs (tout le temps)... tout ça donne une turbulence élevée. Un seul secret, celui de feu Gérard Thérin : guetter durant de longues nuits le micro trou de turbu... difficilement compatible avec une vie professionnelle.
Salut Cédric. En fait, il me semble que, ce serait juste une question d'échantillonage... Et je me demande si en passant en BIN2x2 et 480 x 960 voire plus ça ne passerait pas...?Djakar a écrit : ↑25 octobre 2020, 18:25 On est d’accord que le seeing perturbe bien plus en planétaire qu’en CP. Donc, un C8/C11 n’est pratiquement pas exploitable ici ou alors à avoir conscience que la photo planétaire sera de piètre qualité quel que soit le talent que l’on aura sur logiciels.
Triste
L'autre point, c'est que la Lunette guide est installée et on va dire pré-réglée... donc on se relancera dans les essais de Photo CP 
oú tout "roule".
Il ne me manque plus qu'un bon Astrophotographe Peut-être que je me trompe mais j'avais compris que d'un point de vue pratique, le bin2 par rapport au bin1 permettait de collecter 2 fois plus de lumière dans un temps donné mais au détriment de l’échantillonnage (pas sûr du terme).Marian a écrit : ↑26 octobre 2020, 17:08 En planétaire on essaie de pousser la limite pour atteindre le PS : pouvoir séparateur de l'instrument. Le bin 2 ne te donnera pas de meilleurs résultats, en tout cas pas plus de détails...
Patience et trou de turbu, et évidemment instrument parfaitement collimaté, en température... Je pense que la base est là.
++
Il doute de rien, le type 
MerciMarian a écrit : ↑26 octobre 2020, 17:08 En planétaire on essaie de pousser la limite pour atteindre le PS : pouvoir séparateur de l'instrument. Le bin 2 ne te donnera pas de meilleurs résultats, en tout cas pas plus de détails...
Patience et trou de turbu, et évidemment instrument parfaitement collimaté, en température... Je pense que la base est là.
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Il ne me manque plus qu'un bon Astrophotographe 
C'est ça en bin 2x2 tu regroupes les valeurs de 4 pixels (2 par coté). C'est comme si la surface du pixel était multiplié par 4, donc c'est plus sensible car il y a plus de chance qu'un photon "percute" cette surface. En revanche comme tu l'as noté le pixel étant plus "gros" pour un même instrument tu échantillonnes moins "serré".Djakar a écrit : ↑26 octobre 2020, 17:19 Peut-être que je me trompe mais j'avais compris que d'un point de vue pratique, le bin2 par rapport au bin1 permettait de collecter 2 fois plus de lumière dans un temps donné mais au détriment de l’échantillonnage (pas sûr du terme).
C'est justement sur les aspects photo que je suis un vrai boulet. Je ne m'étais jamais intéressé au sujet avant de vouloir faire de l'astrophoto, m'étant toujours limité à la photo de vacances sur smartphone... Le mec, il veut devenir astrophotographe mais il a 2 de moyenne en photographie :
